Reviews in original Czech, German, & French

Státní filharmonie Brno "Březnový koncert přinesl příjemné překvapení v kritické situaci: ...  dirigent Jiří Kout v poslední chvíli onemocněl a místo něj úspěšně zaskočil (s denním zpožděním) mladý Američan Paul Mauffray – ve velmi obtížném pořadu se Stravinského Svěcením jara."
Hodnocení odborné činnosti za rok 2005, Beáta Sonderlichová, Bohuš Zoubek

Augsburg Philharmonic - Werner Egk & Maurice Ravel"Der junge Gastdirigent Paul Mauffray ließ sich auf die bayerischen Taktwechsel [Egk: Ouvertüre zu „Die Zaubergeige“] gewandt ein. Rhythmusbegabt wie die amerikanischen Musiker sind, schlüpfte er schnell ins bajuwarische Gewand. Paul Mauffray gelang es [Ravel: Boléro], das stoisch den ostinaten Rhythmus tickende Schlagwerk, wie die harmonisch immer bizarrer übereinander gelagerten Instrumentalmischungen so in der Steigerung zu disponieren, daß die orgiastische Entladung mit dem berühmten „Break“ punktgenau kam und zu ebensolchen Befallsstürmen führte."
- Augsburger Allgemeine, April 4, 2001

"Sous la direction de Paul Mauffray, jeune chef d’orchestre natif de New Orleans, qui eut le privilège d’user les mêmes bancs d’écoles de musique que la tribu des Marsalis, entre autres, l’ensemble à cordes, magistralement dirigé, accomplit une performance époustouflante de justesse, en s’adaptant parfaitement à des phrasés différents (Jazz et Classique)."
- Philippe Anthonioz, http://www.sitartmag.com/jazzsymphonique.htm

"Le toucher cristallin d’A. Ibrahim et le jeu tout en finesse de ses deux associés se marièrent à merveille avec les 72 cordes de l’orchestre. Par moment, on crut même assister à un concert intimiste où personne ne voulait vraiment se placer en leader. Jamais, A. Ibrahim, tout comme F. Payet-Labonne ou le batteur S. Kunene (qui remplaçât au pied levé, et de quelle façon, G. Gray, titulaire à la batterie) ne firent démonstration exagérée de leurs talents de virtuose. Pour preuve, l’ardeur du jeune chef d’orchestre américain Paul Mauffray qui cherchait souvent à « réveiller » ses artistes pour donner du volume et les nuances que sa formation était capable de produire."
- François Gayet, http://www.sitartmag.com/jazzsymphonique.htm

Besançon, Kursaal/Opéra-Théâtre, 09/16/2001 Quarante-septième concours de jeunes chefs d’orchestre …
"Près de deux cents candidats de quarante et une nationalités étaient sur la ligne de départ pour les présélections organisées au printemps dans quatre villes (Besançon, Saint-Pétersbourg, New York et Pékin) et consistant à « diriger » deux pianistes interprétant à quatre mains une transcription du Concerto pour orchestre de Bartok. …Les huitièmes de finale ont confronté le 16 septembre au Kursaal les vingt candidats qui ont franchi avec succès ce premier obstacle : quatre Japonais, trois Chinois, trois Russes, deux Français, un Allemand, un Américain, un Belge, un Canadien, un Coréen, un Estonien, un Indonésien et un Israélien, avec une moyenne d’âge de vingt-neuf ans. … Le jury, parmi ces vingt candidats, pouvait en sélectionner dix, mais il préfère envoyer seulement huit d’entre eux en quarts de finale le lendemain, toujours au Kursaal. Peut-être aurait-il pu faire une petite place à la précision de Wilson Hermanto (vingt-huit ans, Indonésie) et au charisme de Paul Mauffray (trente-deux ans, Etats-Unis). … "
- Simon Corley, http://www.concertonet.com/scripts/review.php?ID_review=1314